C’est ce à quoi travaillent des chercheurs comme Yves Gélinas, spécialiste en « biogéochimie » à l’Université Concordia à Montréal.
Le mois dernier, une équipe dont il fait partie a présenté au Bureau d’audiences publiques sur l’environnement du Québec, une étude qui évalue les niveaux de contamination au gaz des eaux souterraines de la vallée du fleuve St-Laurent.
Ce qui veut dire déterminer les niveaux de gaz comme le méthane, le radon et l’hélium qui se retrouvent dans les eaux souterraines qui intéressent les compagnies gazières.
Maryse Jobin a demandé à Yves Gélinas, professeur au département de chimie et de biochimie de l’Université Concordia à Montréal, de nous expliquer pourquoi il est important de connaître à l’avance les concentrations de ces gaz.
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Yves Gélinas organise le Colloque « Impacts socioéconomiques et environnementaux d’une éventuelle exploitation de gaz de schiste au Québec » qui est présenté dans le cadre du 82e Congrès de l’Acfas qui se tient à Montréal cette semaine.
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