En 2014 le Canada vivait ses premiers attentats perpétrés par des « loups solitaires ».
Le 20 octobre, Patrice Vincent, adjudant dans les Forces armées canadiennes, mourait lorsque frappé mortellement par voiture par le sympathisant djihadiste Martin Couture-Rouleau à Saint-Jean-sur-Richelieu au sud de Montréal au Québec.
Deux jours après, Michael Zehaf-Bibeau tuait par balle le caporal Nathan Cirillo alors qu’il était posté devant le Monument commémoratif de guerre du Canada à Ottawa, la capitale du Canada.
Que veut dire cette expression « loup solitaire» et à quand remonte leurs premières actions dans le monde ?
Ceux qui commettent de tels actes sont-ils vraiment des loups solitaires ?
Des questions abordées cette semaine dans le cadre du colloque « Terrorisme international et radicalisme au Moyen Orient et en Afrique » organisé par la Chaire Raoul-Dandurand de l’Université du Québec à Montréal.
Maryse Jobin a abordé la problématique des loups solitaires avec Aurélie Campana, professeur au département de science politique à l’Université Laval. Mme Campana est aussi titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les conflits et le terrorisme.
ÉcoutezTerrorisme international et radicalisme au Moyen Orient et en Afrique (Chaire Raoul Dandurand)
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