Dans notre société canadienne « bien portante », 19 % des enfants vivent dans la pauvreté.
Ce pourcentage grimpe à 40 % chez les enfants autochtones. Selon le regroupement Campagne 2000, « les enfants de familles racialisées et d’immigration récente, les enfants autochtones et les enfants qui ont une incapacité sont plus vulnérables à la pauvreté ».
À Montréal plusieurs quartiers ont à faire face à la triste réalité qu’est la pauvreté. C’est le cas de pauvreté., situé dans le sud-ouest de l’île de Montréal.
Dans cet arrondissement de 66 000 habitants, le secteur Wellington-de-l’Église est particulièrement défavorisé : 32 % des résidents y vivent avec un faible revenu, cette proportion grimpe à 41 % pour les jeunes de moins de 18 ans comparativement à un taux de 28 % pour la grande région de Montréal.
Le taux de monoparentalité y est aussi très élevé — 46 % — accentuant ainsi les difficultés au plan socio-économique.
Pour répondre aux besoins de cette clientèle, plusieurs organismes communautaires ont pignon sur rue dont Toujours ensemble.
Depuis 36 ans, ce centre offre du soutien aux jeunes à travers des activités éducatives et récréatives. Leurs familles sont également supportées de diverses manières.
Une visite des lieux avec Bineta Ba, la directrice générale de Toujours ensemble :
ÉcoutezImpliquée dans le milieu communautaire depuis longtemps, Bineta Ba était auparavant directrice générale au Regroupement des organismes communautaires de lutte au décrochage (ROCLD) et a œuvré pour l’organisme de concertation Réseau réussite Montréal.
La campagne de Noël de Toujours ensemble n’est pas terminée et attend de généreux donateurs!
Également:
Presque un enfant sur cinq est pauvre… au Canada!
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