Les scientifiques l’ont maintes fois répété, le VPH, le Virus du papillome humain est un virus dangereux qui peut infecter plusieurs parties du corps humain et qui existe sous plusieurs types. Certains types se transmettent sexuellement et il est possible d’en contracter plusieurs au courant de sa vie.
Le danger de ce virus est qu’il est parfois sournois, car une personne peut être infectée sans le savoir ou sans présenter les symptômes qui vont de petites bosses sur les organes génitaux (90 %), dans la bouche aux irritations et aux démangeaisons.
Ils vont même jusqu’à causer des lésions cancéreuses du col de l’utérus (70 %), du vagin, de la vulve, du pénis, de l’anus (80 à 90 %) ou de la gorge.
Étant donné qu’il n’y a pas de traitement pour guérir les VPH, les professionnels mettent l’accent sur la prévention. Un vaccin, Gardasil a été élaboré pour protéger les filles et femmes de 9 à 45 ans ainsi que les garçons et hommes de 9 à 26 ans contre ce virus.
Santé Canada relève que ce vaccin a été homologué en 2006 dans 133 pays du monde et est utilisé pour protéger contre 4 types de ce virus : les types 6, 11,16 et 18, mais déplore le fait que la population canadienne reste réticente à ce vaccin à cause des maladies auto-immunes et cardiovasculaires rapportées par les médias.
Santé Canada qui a examiné le problème, rassure le public quant à l’innocuité de ce vaccin, en l’absence de preuves d’un risque accru des maladies mentionnées par les médias.
L’organisme d’état relève que deux millions de Canadiens ont déjà reçu ce vaccin et un nombre limité seulement ont signalé des effets secondaires connus (vertiges, étourdissements et nausées entre autres).
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