Même si cette Franco-Louisianaise termine une thèse de doctorat à la Louisiana State University, Marguerite Perkins n’a pas l’intention de s’emmurer dans le monde scolaire.
Elle veut rester en Louisiane, aux États-Unis, pour participer au renouveau francophone des « Cadjins » et des « Cadjines », une des façons acceptées de nommer ce peuple d’origine acadienne.
« Moi, je ne veux pas une francophonie qui est un musée, je veux une francophonie qui est vivante en Louisiane. »
Maryse Jobin s’entretient avec Marguerite Perkins, originaire de Lafayette. Elle participe, cette semaine, à la 5e édition de l’Université d’été du Centre de la francophonie des Amériques.
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