Le deuil est un moment inéluctable de la vie. Nous naissons, nous vivons, nous mourons et nous laisserons des gens derrière nous.
C’est le grand cycle de la vie, nous avons connu le deuil, des gens le vivront quand viendra le moment de la fin de notre présence sur Terre.
Cela dit, la pratique traditionnelle, du moins en Occident, d’exposer le corps dans un cercueil, le temps que proches, connaissances, amis, collègues viennent offrir condoléances et soutiens signifie qu’il faut « préparer le corps ».
Les produits chimiques utilisés dans les pratiques usuelles se dispersent dans le sol lorsque le corps est mis en terre. D’où de la pollution.
Un souci de retour à la Terre vers des pratiques plus écoresponsables
Chez Memoria, on s’est interrogé sur la façon de faire pour arrimer respect de la nature et mémoire de l’être disparu.
Depuis peu, l’entreprise funéraire a lancé une gamme de produits novateurs, respectueux de l’environnement, et qui répondent aux besoins et aux désirs tant des familles que des défunts.
Urne botanique
Différente de l’urne classique et évidemment du cercueil, l’urne botanique mêle les cendres du défunt à de la terre, de l’engrais et des graines qui deviendront un arbre.
Urne de glace
Entièrement faite de glace, comme son nom l’indique, l’urne reçoit les cendres du défunt et peut être déposée dans un lac, une rivière, ou même en plein océan où elle fondra lentement, la dispersion se faisant tout en douceur.
Julia Duchastel est vice-présidente de Memoria et parle du virage écoresponsable de son entreprise au micro de Raymond Desmarteau.
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