Le Centre d’histoire de Montréal est un petit musée avec de grands projets. Hébergé depuis 1983 dans une de plus anciennes casernes de pompiers de la ville, le bâtiment physique du centre se démarque par son site, la D’Youville et par son architecture. Cependant, il est beaucoup plus qu’un lieu. Son rayonnement va au-delà de l’endroit physique, quoique charmant, où il se trouve.
Aujourd’hui, le centre propose des expositions en salle ainsi que des expositions virtuelles, des pages Internet ainsi que des activités pour tout le monde, petits et grands. Visiter ce centre est une porte d’entrée vers le passé et une fenêtre sur l’évolution de la société montréalaise.
Parmi les sites Internet développés par le centre, on compte Mémoires des Montréalais et son volet Mémoires d’immigrations. Nous avons contacté le directeur du Centre d’histoire de Montréal, Jean-François Leclerc pour lui demander de répondre, par vidéo, à trois questions sur ces deux projets reflétant l’histoire de la ville à partir des histoires uniques des gens qui l’habitent. Voici les questions et ses réponses :
Qu’est-ce qui rend ces deux projets si uniques?
Lorsque vous avez mis en marche ces projets web, quelles ont été vos motivations ?
Quelle est la valeur particulière que vous accordez à un projet comme Mémoires d’immigration à une époque comme celle qu’on vit actuellement (Loi 62 adoptée par l’Assemblée nationale du Québec, débat sur les accommodements raisonnables, grand nombre de réfugiés à la frontière, etc.)?
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