Ils sont cinq, Ontario, Érié, Huron, Michigan et Supérieur auxquels il faut ajouter la Baire Georgienne.
Ce sont les Grands Lacs.
Les Grands Lacs constituent une vaste ressource partagée entre le Canada et les États-Unis. Ils renferment environ 18 % des réserves mondiales d’eau douce de surface et 84 % des réserves en Amérique du Nord.
Et, ils sont malades.
Un consortium scientifique vient de se voir attribuer une subvention e 100 000 dollars afin de réaliser une étude sur le niveau de dépollution de certains de sites les plus mal en point des Grands Lacs.
C’est la fondation Fred A. and Barbara M. Erb Family Foundation qui verse les fonds à l’International Association for Great Lakes Research (IAGLR) pour réaliser cette étude.
À ce jour, des milliards de dollars ont été injectés dans des projets de dépollution de zones dont les Canadiens et les Américains disent être « de nature inquiétante ».
Il s’agit essentiellement de ports ou encore de sections de rivières qui se déversent dans les Grands Lacs transportant des polluants chimiques avant l’imposition de lois antipollution mises en place vers la fin du XXe siècle.
Qu’en est-il de l’état des lieux? C’est ce que tenteront de déterminer les chercheurs de l’IAGLR.
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RCI, PC
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