L’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) permet à des marchandises de circuler entre le Canada, les États-Unis et le Mexique.
Mais on oublie trop souvent que les travailleurs aussi circulent dans cette zone de libre-échange et qu’ils sont en forte demande dans le secteur de la haute technologie. Louis Hébert, professeur titulaire de stratégie à HEC Montréal :
« La question qui se pose à la fois au Canada comme aux États-Unis : est-ce qu’on est capable d’attirer suffisamment de main-d’œuvre par exemple dans le domaine de l’intelligence artificielle, dans le domaine des mégadonnées et dans le domaine des technologies. »
La question est importante puisque l’ALENA arrive à échéance et que les négociations entre les trois pays se poursuivent.
Maryse Jobin s’est entretenue à ce sujet avec Louis Hébert, directeur des programmes MBA et EMBA à HEC Montréal.
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Négociations de l’ALENA : pressions critiques du Canada et du Mexique sur les États-Unis (RCI)
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